Les cuissons douces permettent de préserver au maximum les qualités nutritionnelles de notre alimentation. Un autre avantage est que les cuissons douces demandent moins de surveillance qu’une cuisson au four « classique » à 200°. nous nous sommes tous déjà retrouvés avec un morceau de viande peu savoureux après de trop longues minutes de cuisson.
Par ailleurs, ces cuissons apportent davantage de saveurs aux plats.
Concrètement, en quoi ça consiste :
– Une cuisson à la vapeur (par le biais d’une marguerite dans une casserole)
– Une cuisson au four à maximum 160°.
– D’autres solutions comme les paniers à vapeurs, en bambou, que l’on dépose sur une casserole, les vitaliseurs, les fours à vapeur,… mais qui nécessitent un équipement plus élaboré.
J’utilise principalement le four pour les plats mijotés ou les viandes et poissons.
Prenons l’exemple d’un pavé de saumon : Posez le poisson sur une plaque dans le four préchauffé à 80-85°. Laissez-le cuire une heure. Servez tel quel avec un trait de jus de citron et un trait d’huile d’olive. Simple et gourmand !
J’utilise principalement la marguerite pour les végétaux. Ce mode de cuisson est également très simple.
Mettez un fond d’eau dans une casserole et déposez-y la marguerite. L’idée est d’avoir suffisamment d’eau pour qu’elle frôle la marguerite sans toucher les légumes. Vous y mettez les légumes et vous faites cuire avec un couvercle. Évitez de soulever le couvercle trop régulièrement car la vapeur va s’échapper et la cuisson sera ralentie. Attention, si vous laissez cuire trop longtemps, ajoutez de l’eau afin de ne pas risquer de brûler votre casserole.